Nissan Qashqai, on comprend son succès

Publié le 27 juin 2018 dans Galeries par Le Guide de l'auto

Il faut savoir que le Nissan Qashqai s’amène au pays avec une certaine expérience, lui qui est commercialisé en Europe depuis déjà onze ans.

À bord du Qashqai, on ressent encore l’influence de ses confrères; l’habitacle est similaire, voire identique à celui du Rogue, mais à plus petite échelle. L’ergonomie est excellente, l’instrumentation, bien en vue, et les différentes commandes, simples à comprendre et à manipuler.

Pour vous situer, le Qashqai est plus court de 250 mm et 98 mm plus bas que le Rogue, alors que sa largeur est similaire.

Sinon, tout comme dans le cas du Honda HR-V, les versions équipées d’un rouage intégral disposent d’une boîte à variation continue (CVT), un type de boîte qui nous fait toujours grincer des dents.

À l’arrière, les passagers ont avantage à bien s’entendre, car l’espace n’est pas très généreux, au moins, la banquette surélevée permet une bonne vision vers l’avant.

On dispose de peu d’espace de rangement à l’avant, un désavantage relativement commun chez les VUS de petit gabarit.

Sur la route, le Qashqai permet une bonne position de conduite, assez basse, telle une voiture. Si certains modèles ne permettent pas de descendre les sièges suffisamment, ce n’est pas le cas ici.

En général, le Qashqai est un peu moins dynamique qu’un CX-3, mais il s’est avéré plus sportif que le Honda HR-V.

Sa suspension offre un bon compromis entre confort et support, sa direction, elle, est moins précise si vous n’optez pas pour son mode sport, lequel est malheureusement bien caché dans les sous-menus de l’ordinateur de bord.